Rue Jules Barni
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| Amiens - Rue Jules Barni |
Durant la Guerre 1914 - 1918
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Arrivée des Turcos certainement devant le Lycée Robert de Luzarches
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Dans la soirée du 10 novembre 1916, un obus tombe sur la maison située au numéro 178 de la rue.
Le 4 février 1917, c'est le numéro 55 qui est touché, ainsi que la cour des Petites Soeurs des Pauvres au 62.
La nuit du 10 au 11 février, c'est le numéro 200 qui est touché.
En 1918, la rue est touchée à plusieurs reprises :
- le 23 mars au soir, un obus dans l'hôpital temporaire installé dans les locaux de l'Ecole Janvier au 72, un autre sur l'hôpital au numéro 110.
- le 24 mars au soir, ce sont les numéros 167 et 267 qui sont touchés.
- le 26 mars au soir, ce sont les numéros 147 et 319 qui sont touchés.
- le 2 avril au matin, l'angle avec la Rue du Blamont est touché : 1 employé des chemins de fer décède
- le 4 avril après midi la Caserne Dejean est touchée à plusieurs reprises
- la nuit du 29 au 30 avril 1918, un homme est tué dans la rue.
vues de la rue
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L'école Normale (de Garçons) - Actuel Lycée Robert de Luzarches
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Troupes allemandes
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Le Séminaire qui deviendra ensuite la Caserne Dejean
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La Caserne Dejean en 2012
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La rue Jules Barni peu après la seconde guerre mondiale
Après la seconde guerre mondiale
Les rails du tramway sont retirés en 1947.
A côté de la Caserne Dejean est construite en 1948 une Cité Administrative.
En 1956 on trouve dans la rue :
- Au 8, un opticien
- Au 12, Névé, spécialiste du frigorifique
- Au 31, Van Beghin, TSF et disques
- Au 71, un photographe
- Au 152-154, une pharmacie
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Le bas de la rue Jules Barni en 1960
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