« Port d'Aval » : différence entre les versions
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Lors de la première guerre mondiale, le commandant de la place d'Amiens et le Maire d' | A l'entrée du port d'aval, et face au [[Château d'Eau]] se trouvait un bâtiment abritant la machine hydraulique alimentant le château d'eau en eau potable. | ||
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==Le port d'aval au début du XX ième == | |||
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Dans "[[Amiens à la belle époque]]" [[Hervé Cultru]] recense les prostitués dument enregistrées auprès des autorités, des "filles soumises" selon l'expression de l'époque : "entre 1895 et 1908, trois cent soixante-deux filles transitent par le 21 port d'aval, et trois cent quatre-vingt-douze par le numéro 39 de la même adresse". | |||
Lors de la première guerre mondiale, le commandant de la place d'Amiens et le Maire d'Amiens s'accordent à n'autoriser l'établissement de maisons de tolérance que dans le quartier du Port d'Aval. D'après [[Jack Fishman]] (auteur de "[[Ce jour là - Et les murailles tombèrent]]" chez Robert Laffont) il y avait 5 maisons closes durant la seconde guerre mondiale dans cette rue : au 5, au 9 , au 27, au 34 et au 41. | |||
[[Jacques Béal]] dans son roman [[Rendez-vous au sourire d'Avril]] y situe lui aussi un grand nombre de maisons de tolérance, un ses héros, maître verrier, fait la tournée des bordels pour présenter ses voeux de bonne année à ces dames dans l'Amiens des années 1945/50. | |||
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Image:CPA-vue-du-port-d-aval.jpg|le Port d'Aval vers 1900 | |||
Image:CPA-Chateau-eau-port-Aval.jpg|[[Château d'Eau]] et Port d'Aval | |||
Image:Port_Aval.JPG|le Port d'aval avant la seconde guerre mondiale | Image:Port_Aval.JPG|le Port d'aval avant la seconde guerre mondiale | ||
Image:CPA-le-vieux-port.jpg | Image:CPA-le-vieux-port.jpg|Vue du vieux port | ||
Image:CPA-Chateau-Eau.jpg|Le Chateau d'Eau | |||
Image:CPA-Somme-Pont-St-Michel.jpg|Le [[Pont Saint Michel]] | |||
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== Durant la Guerre 1914 - 1918 == | |||
Le 9 avril 1918, un tué par les bombardements. | |||
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Dernière version du 16 avril 2014 à 10:20
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| Amiens - Port d'Aval |
Ou Boulevard du Port d'Aval
A l'entrée du port d'aval, et face au Château d'Eau se trouvait un bâtiment abritant la machine hydraulique alimentant le château d'eau en eau potable. En face on apercevait l'usine à gaz, qui fût détruite après la seconde guerre mondiale.
Le port d'aval au début du XX ième
Prostitution
Dans "Amiens à la belle époque" Hervé Cultru recense les prostitués dument enregistrées auprès des autorités, des "filles soumises" selon l'expression de l'époque : "entre 1895 et 1908, trois cent soixante-deux filles transitent par le 21 port d'aval, et trois cent quatre-vingt-douze par le numéro 39 de la même adresse".
Lors de la première guerre mondiale, le commandant de la place d'Amiens et le Maire d'Amiens s'accordent à n'autoriser l'établissement de maisons de tolérance que dans le quartier du Port d'Aval. D'après Jack Fishman (auteur de "Ce jour là - Et les murailles tombèrent" chez Robert Laffont) il y avait 5 maisons closes durant la seconde guerre mondiale dans cette rue : au 5, au 9 , au 27, au 34 et au 41.
Jacques Béal dans son roman Rendez-vous au sourire d'Avril y situe lui aussi un grand nombre de maisons de tolérance, un ses héros, maître verrier, fait la tournée des bordels pour présenter ses voeux de bonne année à ces dames dans l'Amiens des années 1945/50.
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le Port d'Aval vers 1900
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Château d'Eau et Port d'Aval
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le Port d'aval avant la seconde guerre mondiale
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Vue du vieux port
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Le Chateau d'Eau
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Durant la Guerre 1914 - 1918
Le 9 avril 1918, un tué par les bombardements.