Rue de Noyon

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Amiens - Rue de Noyon



Le libraire Poiré-Choquet, installé au début du 20e siècle Rue de la République est installé après la seconde guerre mondiale dans la rue, au numéro 7

Durant la Guerre 1914 - 1918

Le 22 septembre 1916, à 3h, un obus tombe sur le numéro 24 (probablement un obus de la D.C.A.)

Le cinéma l'Excelsior fut rebaptisé "Cinéma des Alliés" lors de sa réouverture le 15 janvier 1916 (source La Grande Guerre à Amiens) - Dans la soirée du 10 novembre 1916, un obus tombe sur le bâtiment situé au numéro 28 de la rue

En 1918, le 4 avril après midi, un obus tombe sur la Société Industrielle, au n°29 de la rue.

Le 27 avril 1918 à 23h deux soldats sont tués par un éclat d'obus.


Dans les années 30

au 2, a l'angle avec la Place René Goblet, le Grand Hôtel de l'Univers

au 11 et 13 le Cinéma L'Excelsior

au 18 les pâtés et macarons G. Koenig

au 20 les pâtés et macarons Degand, Pâtissier-Confiseur

au 21 la librairie Brandicourt-Boivin

au 23 et 25, Magraner Frères, fruits vins et champagne

au 30 Hôtel des ventes d'Amiens

au 36 et 38, l'Hôtel de Paris

au 37 la Maison Dubois, Coiffeur

au 42, à l'angle avec le Boulevard de Belfort, l'Hôtel Carlton qui fait également Restaurant

Années 50 et 60

  • Au 1bis, en 1963, Bernard Leplat, Ducretet Thomson télévisions
  • Au 7, en 1957, Librairie Poiré-Choquet
  • Au 31, en 1957, Lingerie Estelle
  • Au 32, en 1968, le plus fort tirage des hebdomadaires du département, Picardie Dimanche
  • Au 32, en 1968, Picardie Dimanche
  • Au 40, en 1963, J. Ricque, opticien

La rue de Noyon de nos jours

Frédéric Domon habita longtemps au numéro 9 de la rue de Noyon