« Marie sans chemise » : différence entre les versions
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Celle que tous les amiénois nomment Marie sans chemise, porte en fait officiellement le nom d'un ancien maire d'Amiens [[Louis Dewailly]] qui dans son testament du 12 février 1892 légua 25 000 Francs à la commune pour l'édicfication de cette horloge. C'est quatre ans après le décès de Louis Dewailly, le 2 avril 1892 que l'horloge vue le jour. | Celle que tous les amiénois nomment Marie sans chemise, porte en fait officiellement le nom d'un ancien maire d'Amiens [[Louis Dewailly]] qui dans son testament du 12 février 1892 légua 25 000 Francs à la commune pour l'édicfication de cette horloge. C'est quatre ans après le décès de Louis Dewailly, le 2 avril 1892 que l'horloge vue le jour. | ||
Ce fut l'architecte [[Émile Ricquier]] qui fut désigné pour dessiner la structure du monument alors que le sculpteur [[Albert Roze]] devait l'orner d'une de ses oeuvres. Les deux hommes ne s'entendant guère, ils se reprochèrent multuellement les retards. | Ce fut l'architecte [[Émile Ricquier|Emile Ricquier]] qui fut désigné pour dessiner la structure du monument alors que le sculpteur [[Albert Roze]] devait l'orner d'une de ses oeuvres. Les deux hommes ne s'entendant guère, ils se reprochèrent multuellement les retards. | ||
L'horloge fut finalement mise en marche à partir du 4 août 1896, sans la statue d'[[Albert Roze]], le mécanisme comprenait trois cadrans éclairés, à la nuit tombée, par des lampes à gaz. | L'horloge fut finalement mise en marche à partir du 4 août 1896, sans la statue d'[[Albert Roze]], le mécanisme comprenait trois cadrans éclairés, à la nuit tombée, par des lampes à gaz. | ||
Version du 27 janvier 2013 à 13:38
Celle que tous les amiénois nomment Marie sans chemise, porte en fait officiellement le nom d'un ancien maire d'Amiens Louis Dewailly qui dans son testament du 12 février 1892 légua 25 000 Francs à la commune pour l'édicfication de cette horloge. C'est quatre ans après le décès de Louis Dewailly, le 2 avril 1892 que l'horloge vue le jour.
Ce fut l'architecte Emile Ricquier qui fut désigné pour dessiner la structure du monument alors que le sculpteur Albert Roze devait l'orner d'une de ses oeuvres. Les deux hommes ne s'entendant guère, ils se reprochèrent multuellement les retards.
L'horloge fut finalement mise en marche à partir du 4 août 1896, sans la statue d'Albert Roze, le mécanisme comprenait trois cadrans éclairés, à la nuit tombée, par des lampes à gaz.
